Au moment ou certains nigériens manipulés consciemment ou inconsciemment par des forces obscures se sont donnés la mission de déstabiliser leur propre pays pour l’entrainer dans les abimes à travers des débats et prise de positions incongrues sur les questions sécuritaires, le président de la République Mohamed Bazoum et son gouvernement sont eux, à la tâche.
En effet, malgré ou en dépit des investissements colossaux dans le domaine de la sécurité, le pays ne s’est pas arrêté. Ainsi, des routes apparaissent au grand bonheur des acteurs économiques et des populations. L’exemple type et palpable est qu’aujourd’hui le grand bassin céréalier constitué des départements de Loga, Doutchi et le Nord du département de Dosso grâce à la route goudronnée Baleyara-Loga-Doutchi est à moins de 3 heures de temps de Niamey, la capitale.
Des villes comme Doutchi, Konni, Dosso sont en chantier avec chacune des infrastructures d’assainissement et au moins 10 km linéaires de routes pavées ou goudronnées intra muros. Le Niger c’est la construction de dizaines d’internats pour les jeunes filles dans les différents collèges en zones rurales. La réhabilitation du grand barrage agricole de Konni est à sa phase terminale.
Les acteurs du barrage hydro électrique de Kandadji, avec le président de la République en tête s’attèlent à le terminer dans les délais afin de permettre aux Nigériens l’accès à des vastes aménagements rizicoles, l’accès à l’électricité propre et moins chère. En ce moment des dizaines de centrales hybrides sont construites pour éclairer les zones isolées et non connectées au Réseau national.
Le barrage de Konni et celui de Kandadji, la mise en valeur des bas-fonds de la zone de 3 M (Mirriah, Magaria, Matameye) dans le cadre des pôles économiques, l’usine de production de lait de Gaya, les routes latéritiques qui sont en chantier pour relier les centres de production d’agrumes de l’Aïr contribueront probablement plus à notre souveraineté que nos jérémiades et autres masturbations intellectuelles sur les réseaux sociaux contre un Occident fantasmé.
Le Niger, c’est aussi 9 mois de vente des céréales à prix modéré aux couches vulnérables et de distribution gratuite ciblée de vivres pour contenir l’inflation, qui est mondiale. Cette mesure est combinée à un désarmement fiscal pour la plupart des produits de première nécessité importés toujours pour juguler l’inflation.
Le Niger, c’est aussi l’apaisement du climat politique avec la reprise des travaux du CNDP (une spécificité nigérienne) et un chef de file de l’opposition exerçant la plénitude de ses prérogatives. Seul le travail libère et c’est la philosophie du président de la République Bazoum Mohamed.
Donnons-nous la main et transformons notre pays en un vaste chantier pour chasser la pauvreté qui est notre vraie ennemie. Canalisons la débauche d’énergie que nous déployons pour nous autodétruire sur les réseaux sociaux vers des choses utiles. C’est en Afrique seulement qu’on observe que 90 % des groupes ou pages crées sur les réseaux sociaux (facebook; whatsapp, telegramme) sont dédiés à la politique politicienne.
Accompagnons le président de la République pour qu’il mette en œuvre son programme dans les conditions optimales que de chercher à faire des coalitions antipatriotiques et tirer notre pays vers le bas. « Incha Allah », le Niger ne sera jamais un État failli, grâce à la majorité de ses dignes fils et filles. Le Niger restera debout grâce au professionnalisme de nos forces de défense et de sécurité (FDS). Le Niger restera débout, parce que les nigériens le veulent et ils ont un président de la République débout et comme il le dit lui-même, qu’il n’a aucun complexe vis à vis de qui que ça soit.
Préservons notre pays.
ABDOU PAGOUI