Le président candidat Paul Kagamé est exposé et vilipendé face au vernis démocratique. Mais, même ces nombreux détracteurs à qui travers le monde contestent ses allures de monarque sont aujourd’hui mal à l’aise, face à l’essor de ce pays qui fait la fierté de nombreux africains, d’autant plus qu’il se démarque de ces Etats qui présentent à la face du monde une image de « taudis isolés », avec une fierté pour le vernis démocratique, stérile, réfractaire à tout progrès socio-économique, des citoyens libres seulement de dire tout ce qu’ils veulent de leurs dirigeants. Mais comme toujours, c’est encore le fameux concept de démocratie tant rabâchée par l’Occident sous fond d’hypocrisie qui est brandie comme une arme fatale contre Paul Kagamé.
L’approche réaliste du développement à la Paul Kagamé !
Ce dernier a pourtant une approche plus nuancée, voire pragmatique du développement qui loin de tout concept galvaudé çà et là, dans les salons d’intellectuels africains, qui consiste à améliorer amplement le sort des populations, en leur offrant ainsi plus de liberté et du confort adapté pour faire face aux exigences du monde extérieur, ainsi qu’à certains pays qui prétendent progresser alors qu’ils s’insèrent dans de nombreux pièges des concepts creux, sans pour autant produire des résultats satisfaisants pour leurs populations. Au Rwanda, la campagne électorale pour l’élection présidentielle a été lancée ce Samedi 22 Juin, en vue de designer le futur président de la République et les représentants du peuple à l’Assemblée nationale dans un pays où la vie politique est dominée par la figure emblématique de Paul Kagamé au pouvoir depuis les années 2000 et un pays dont l’agriculture, l’élevage, les mines ou les industries donnent suffisamment à manger et à boire à toute la population via un travail respectable avec des revenus satisfaisants et l’image très reluisante de la singularité économique d’un Rwanda, qui progresse réellement et effectivement.
Le président Kagamé dirige certes le Rwanda d’une main de fer, au point de n’autoriser qu’une seule association politique le statut d’opposition, outre la persécution de nombreux opposants ayant trouvé refuge à l’étranger. La révision de la constitution en 2015 lui autorise de briguer plusieurs mandats à la tête du pays, ce qui accroît son influence dans un pays devenu une référence en Afrique, en termes de développement économique et social.
Le temps de rompre le mimétisme vulgaire !
Comme si les pays comme la Chine, la Russie et autres pays émergents ont connu leur essor grâce à l’implémentation de cette panacée qui a gagné le cœur de nombreux africains depuis le discours de la Baule en 1990. L’histoire nous révèle que les Etats qui ont émergé à un moment de leur histoire sont redevables de la clairvoyance de leurs leaders, épris d’un fort sentiment de patriotisme sans se laisser distraire par des formules jetées par l’Occident à chaque moment crucial de sa stratégie de domination et ce, loin des intérêts vitaux des peuples africains.
ABOUBACAR SOUMAILA