
En cette période de la nativité, les chrétiens au plus haut sommet souhaitent que l’enfant Jésus inspire la paix, la sécurité et la fraternité en Afrique, notamment au Soudan, en République démocratique du Congo et au Sahel.
La situation sécuritaire, qui secoue l’espace géopolitique de la confédération de l’AES depuis plus d’une décennie commence-t-elle maintenant à préoccuper les dirigeants de l’église catholique ? C’est par l’affirmative que le plus haut sommet de la chrétienté répond, à travers le pape François depuis le Vatican à l’occasion de Noël 2024, en souhaitant l’avènement d’une paix définitive, d’une fraternité et de communion durable pour le Burkina Faso, le Mali et le Niger, les trois pays du Sahel central secoués par le terrorisme armé avec ses corollaires de violence, de pauvreté, de souffrance, des populations déplacées, des crises humanitaires et d’épidémies diverses.
C’est aussi l’archevêque de Niamey, Monseigneur Laurent Lompo et l’évêque de Maradi Monseigneur Ambroise dans un message commun lu par Mgr Laurent Lompo qui insistera sur le besoin de la paix en réponse au « terrorisme récurrent »qui s’abat sur le Sahel depuis plusieurs années. Au même titre à l’égard de la guerre Russo-Ukrainienne, celle Israélo-Palestinienne, à Gaza, au Soudan, au Congo RDC, le plus haut dirigeant de l’église catholique prie aussi pour l’avènement de la paix au Sahel, en lutte contre le terrorisme ayant conduit à l’embrasement de la région et qui défie aujourd’hui tous les espoirs du développement socio-économique de l’espace.
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