Un parcours riche d’expériences de terrain !
Même si le président du MPCR Mahamadou Nouhou Arzika, cet autre acteur de la société civile semble lui ravir la vedette pour prendre la tête du conseil consultatif national (CCN), Elhadji Maman Lokoko n’en demeure pas moins un grand homme et un militant pétri de diverses expériences du terroir, en tant qu’enseignant de base qu’il a instruit et éduqué les enfants Nigériens dans une longue carrière d’instituteur dans les écoles primaires de son pays, le Niger. Elhadji Maman Lokoko, pour ne pas le nommer présente un profil rare de neutralité exemplaire, il a l’avantage d’être à équidistance de toutes les forces politiques de l’échiquier national et incarne un visage de la Justice dans son engagement politique.
Investir Elhadji Abdou Maman Lokoko à la tête du conseil consultatif national, c’est rendre hommage aux enseignants et plus largement à l’éducation au Niger. Fort d’une fine expérience de gestion des graves questions de l’éducation en tant que membre du syndicat pionnier du secteur de l’éducation au Niger, le puissant SNEN pour le syndicat national des enseignants du Niger, il fait partie des icônes nationales dans le combat pour garantir à la jeunesse de son pays les meilleures conditions d’une éducation de qualité au Niger.
Militant très actif de la société civile et acteur du développement sociopolitique de la jeunesse Nigérienne, Elhadji Abdou Maman Lokoko s’affirme comme un leader pragmatique, qui inspire le patriotisme et l’engagement politique. Ni bavard ni timide, il exprime le sens de la mesure et non de la démesure pour se faire connaître de la scène politique nationale.
Dans le domaine de l’éducation, lui et ses camarades ont réussi à développer et mettre au service du Niger une laborieuse expertise nationale à valeur universelle, notamment dans la connaissance du secteur et de son financement.
Nous allons vaincre par l’éducation les nouveaux défis de sécurité !
Pour Elhadji Abdiu Maman Lokoko, le Niger a aussi bien les ressources humaines que celles intellectuelles, socioprofessionnelles et techniques pour faire face aux défis de la sécurité au Niger et contribuer également à la sauvegarde du Sahel. Parce que le pays de Diori Hamani, Seyni Kountché, Ali Chaibou, Mahamane Ousmane, Ibrahim Baré Mainassara, Daouda Mallam Wanké, Mamadou Tanja, de Mahamadou Issoufou, Mohamed Bazoum et du Général Abdourahmane Tianipossède tous les moyens au service des citoyens pour contenir toute épreuve visant à atteindre la cause nationale.
La question sécuritaire qui constitue la préoccupation numéro un des populations du Sahel doit trouver les ressources de sa solution au Niger, du simple constat que grâce à l’expérience efficace des forces de défense et de sécurité, ainsi que leur vaillance à toute épreuve, le pays du Général Abdourahmane Tiani est l’un des rares États à contrôler l’effectivité de son territoire national. Si les Nigériens y ajoutent un brin d’éducation citoyenne massive à la haute technologie de l’information et de la communication(NTIC)entièrement développée et orientée à la cause de la sécurité nationale, le téléphone portable deviendra une véritable ou même une arme atomique au service du pays et contre les ennemis du Niger.
Tout revient à l’éducation dans la gouvernance de ce monde moderne et la technologie doit être orientée à une telle cause d’utilité publique. D’autant que la cyber-citoyenneté est entrain de prendre le pas sur la citoyenneté classique et ordinaire, dans la mesure où les citoyens du monde passent le plus clair de leur temps connecté à un réseau social qu’à une conversation à bâton rompu entre eux.
Dès lors, Elhadji Abdou Maman Lokoko ce potentiel candidat à la tête du conseil consultatif national y voit dans le téléphone portable androïde un véritable moyen de communication utile et un outil technologique de guerre au service du Niger, mais qui doit être déployé stratégiquement par chaque citoyen pour devenir ainsi un potentiel soldat de la paix, pour l’honneur de la patrie. C’est aussi par une révolution à base du téléphone portable que peuvent imposer la paix et la sécurité d’un pays au 21e siècle, le prochain président du conseil consultatif national devrait y croit fermement.
MOUSSA NAGANOU