Notre pays par la voix de ses autorités compétentes, vient de donner son aval officiel à la médiation
initiée par l’Algérie voisine. Ce feu vert n’est pas le fait du hasard car la position dégagée par le
Président Abdelmadjid Tebboune et son gouvernement au lendemain du coup d’Etat a été une
position médiane et réaliste.
L’Algérie a aussitôt mis en garde et appelé à la prudence et à la retenue face aux intentions
d’interventions militaires étrangères, qui sont malheureusement considérées par la CEDEAO comme
des options envisageables et utilisables pour la restauration d’un régime déchu. Le fait que l’Algérie
dégage cette position pragmatique que beaucoup d’observateurs considèrent à tort comme
ambiguë, démontre qu’elle a été vaccinée par la guerre injuste ayant détruit la Libye et conduit à la
déstabilisation des pays du Sahel.
Dès fin Août elle a dévoilé son plan de sortie de crise qui s’articule autour de la consolidation du
principe de l’illégalité des changements anticonstitutionnels et la fixation d’un délai de six (06) mois
pour parvenir à une solution politique garantissant le retour au système constitutionnel et
démocratique au Niger à travers la reprise de l’action politique dans le cadre de l’État de droit. Tout
cela dans un arrangement politique de sortie de crise avec la participation et l’approbation de toutes
les parties au Niger sans exclusion, à condition que la durée de ces arrangements n’excède pas six
mois, et qu’ils soient sous la supervision d’une autorité civile exercée par une figure consensuelle et
acceptée par toutes les couches de la classe politique au Niger. Il est donc clair que l’Algérie, très
expérimentée dans la conduite des médiations dans notre sous région cherche à assurer la durabilité
de la solution politique et son acceptation par tous les acteurs de la crise et du processus de son
règlement à travers une l’approche participative car aucune solution ne sera possible si elle ne prend
pas en compte les aspirations du peuple nigérien meurtri par la gestion chaotique du régime
renversé.
Il est évident que ces propositions de sortie de crise développées par la médiation algérienne sont
faites pour être discutées et la mise en place du forum national inclusif va dans ce sens. Aussi pour
prouver sa capacité à mener cette discussion l’Algérie s’atteler très rapidement à travailler dans le
sens d’alléger les sanctions injustes imposées par la CEDEAO au peuple nigérien persévérant, résiliant
et héroïque. Quant au CNSP, il dispose aujourd’hui de toutes les prérogatives pour mener le Niger sur
la voie de la souveraineté interne de l’Etat pour maintenir l’ordre et la paix afin qu’aucune
organisation terroristes ou rebelles ne puissent saper l’autorité et perturber la quiétude des citoyens.
Quelque soit la durée de la transition, il sera primordial de travailler à la consolidation et au
renforcement des institutions qui seront issues de la prochaine constitution afin de mettre tous les
verrous nécessaires pour qu’à l’avenir aucun groupe de personnes ou de partis politiques ne puissent
hypothéquer l’avenir du pays. Contrairement à l’Algérie, la France et la CEDEAO ont fait une
mauvaise évaluation de la situation. Au fil des semaines et des mois elles réalisent que leur projet
d’intervention pour réinstaller le président déchu et sa mafia rose pour leurs intérêts était une idée
stupide et surtout une tâche ardue aux conséquences incommensurables. L’armée nigérienne ne leur
facilitera sûrement pas la tâche, soutenue par celles de la nouvelle alliance du Sahel à savoir l’armée
Burkinabé et malienne.
Notre pays par la voix de ses autorités compétentes, vient de donner son aval officiel à la médiation
initiée par l’Algérie voisine. Ce feu vert n’est pas le fait du hasard car la position dégagée par le
Président Abdelmadjid Tebboune et son gouvernement au lendemain du coup d’Etat a été une
position médiane et réaliste. L’Algérie a aussitôt mis en garde et appelé à la prudence et à la retenue
face aux intentions d’interventions militaires étrangères, qui sont malheureusement considérées par
la CEDEAO comme des options envisageables et utilisables pour la restauration d’un régime déchu.
Le fait que l’Algérie dégage cette position pragmatique que beaucoup d’observateurs considèrent à
tort comme ambiguë, démontre qu’elle a été vaccinée par la guerre injuste ayant détruit la Libye et
conduit à la déstabilisation des pays du Sahel. Dès fin Août elle a dévoilé son plan de sortie de crise
qui s’articule autour de la consolidation du principe de l’illégalité des changements
anticonstitutionnels et la fixation d’un délai de six (06) mois pour parvenir à une solution politique
garantissant le retour au système constitutionnel et démocratique au Niger à travers la reprise de
l’action politique dans le cadre de l’État de droit. Tout cela dans un arrangement politique de sortie
de crise avec la participation et l’approbation de toutes les parties au Niger sans exclusion, à
condition que la durée de ces arrangements n’excède pas six mois, et qu’ils soient sous la supervision
d’une autorité civile exercée par une figure consensuelle et acceptée par toutes les couches de la
classe politique au Niger. Il est donc clair que l’Algérie, très expérimentée dans la conduite des
médiations dans notre sous région cherche à assurer la durabilité de la solution politique et son
acceptation par tous les acteurs de la crise et du processus de son règlement à travers une
l’approche participative car aucune solution ne sera possible si elle ne prend pas en compte les
aspirations du peuple nigérien meurtri par la gestion chaotique du régime renversé.
Il est évident que ces propositions de sortie de crise développées par la médiation algérienne sont
faites pour être discutées et la mise en place du forum national inclusif va dans ce sens. Aussi pour
prouver sa capacité à mener cette discussion l’Algérie s’atteler très rapidement à travailler dans le
sens d’alléger les sanctions injustes imposées par la CEDEAO au peuple nigérien persévérant, résiliant
et héroïque.
Quant au CNSP, il dispose aujourd’hui de toutes les prérogatives pour mener le Niger sur la voie de la
souveraineté interne de l’Etat pour maintenir l’ordre et la paix afin qu’aucune organisation
terroristes ou rebelles ne puissent saper l’autorité et perturber la quiétude des citoyens. Quelque
soit la durée de la transition, il sera primordial de travailler à la consolidation et au renforcement des
institutions qui seront issues de la prochaine constitution afin de mettre tous les verrous nécessaires
pour qu’à l’avenir aucun groupe de personnes ou de partis politiques ne puissent hypothéquer
l’avenir du pays. Contrairement à l’Algérie, la France et la CEDEAO ont fait une mauvaise évaluation
de la situation.
Au fil des semaines et des mois elles réalisent que leur projet d’intervention pour réinstaller le
président déchu et sa mafia rose pour leurs intérêts était une idée stupide et surtout une tâche
ardue aux conséquences incommensurables. L’armée nigérienne ne leur facilitera sûrement pas la
tâche, soutenue par celles de la nouvelle alliance du Sahel à savoir l’armée Burkinabé et malienne.
Notre pays par la voix de ses autorités compétentes, vient de donner son aval officiel à la médiation
initiée par l’Algérie voisine. Ce feu vert n’est pas le fait du hasard car la position dégagée par le
Président Abdelmadjid Tebboune et son gouvernement au lendemain du coup d’Etat a été une
position médiane et réaliste. L’Algérie a aussitôt mis en garde et appelé à la prudence et à la retenue
face aux intentions d’interventions militaires étrangères, qui sont malheureusement considérées par
la CEDEAO comme des options envisageables et utilisables pour la restauration d’un régime déchu.
Le fait que l’Algérie dégage cette position pragmatique que beaucoup d’observateurs considèrent à
tort comme ambiguë, démontre qu’elle a été vaccinée par la guerre injuste ayant détruit la Libye et
conduit à la déstabilisation des pays du Sahel. Dès fin Août elle a dévoilé son plan de sortie de crise
qui s’articule autour de la consolidation du principe de l’illégalité des changements
anticonstitutionnels et la fixation d’un délai de six (06) mois pour parvenir à une solution politique
garantissant le retour au système constitutionnel et démocratique au Niger à travers la reprise de
l’action politique dans le cadre de l’État de droit. Tout cela dans un arrangement politique de sortie
de crise avec la participation et l’approbation de toutes les parties au Niger sans exclusion, à
condition que la durée de ces arrangements n’excède pas six mois, et qu’ils soient sous la supervision
d’une autorité civile exercée par une figure consensuelle et acceptée par toutes les couches de la
classe politique au Niger. Il est donc clair que l’Algérie, très expérimentée dans la conduite des
médiations dans notre sous région cherche à assurer la durabilité de la solution politique et son
acceptation par tous les acteurs de la crise et du processus de son règlement à travers une
l’approche participative car aucune solution ne sera possible si elle ne prend pas en compte les
aspirations du peuple nigérien meurtri par la gestion chaotique du régime renversé.
Il est évident que ces propositions de sortie de crise développées par la médiation algérienne sont
faites pour être discutées et la mise en place du forum national inclusif va dans ce sens. Aussi pour
prouver sa capacité à mener cette discussion l’Algérie s’atteler très rapidement à travailler dans le
sens d’alléger les sanctions injustes imposées par la CEDEAO au peuple nigérien persévérant, résiliant
et héroïque.
Quant au CNSP, il dispose aujourd’hui de toutes les prérogatives pour mener le Niger sur la voie de la
souveraineté interne de l’Etat pour maintenir l’ordre et la paix afin qu’aucune organisation
terroristes ou rebelles ne puissent saper l’autorité et perturber la quiétude des citoyens. Quelque
soit la durée de la transition, il sera primordial de travailler à la consolidation et au renforcement des
institutions qui seront issues de la prochaine constitution afin de mettre tous les verrous nécessaires
pour qu’à l’avenir aucun groupe de personnes ou de partis politiques ne puissent hypothéquer
l’avenir du pays. Contrairement à l’Algérie, la France et la CEDEAO ont fait une mauvaise évaluation
de la situation.
Au fil des semaines et des mois elles réalisent que leur projet d’intervention pour réinstaller le
président déchu et sa mafia rose pour leurs intérêts était une idée stupide et surtout une tâche
ardue aux conséquences incommensurables. L’armée nigérienne ne leur facilitera sûrement pas la
tâche, soutenue par celles de la nouvelle alliance du Sahel à savoir l’armée Burkinabé et malienne.
Notre pays par la voix de ses autorités compétentes, vient de donner son aval officiel à la médiation
initiée par l’Algérie voisine. Ce feu vert n’est pas le fait du hasard car la position dégagée par le
Président Abdelmadjid Tebboune et son gouvernement au lendemain du coup d’Etat a été une
position médiane et réaliste.
L’Algérie a aussitôt mis en garde et appelé à la prudence et à la retenue face aux intentions
d’interventions militaires étrangères, qui sont malheureusement considérées par la CEDEAO comme
des options envisageables et utilisables pour la restauration d’un régime déchu. Le fait que l’Algérie
dégage cette position pragmatique que beaucoup d’observateurs considèrent à tort comme
ambiguë, démontre qu’elle a été vaccinée par la guerre injuste ayant détruit la Libye et conduit à la
déstabilisation des pays du Sahel. Dès fin Août elle a dévoilé son plan de sortie de crise qui s’articule
autour de la consolidation du principe de l’illégalité des changements anticonstitutionnels et la
fixation d’un délai de six (06) mois pour parvenir à une solution politique garantissant le retour au
système constitutionnel et démocratique au Niger à travers la reprise de l’action politique dans le
cadre de l’État de droit. Tout cela dans un arrangement politique de sortie de crise avec la
participation et l’approbation de toutes les parties au Niger sans exclusion, à condition que la durée
de ces arrangements n’excède pas six mois, et qu’ils soient sous la supervision d’une autorité civile
exercée par une figure consensuelle et acceptée par toutes les couches de la classe politique au
Niger. Il est donc clair que l’Algérie, très expérimentée dans la conduite des médiations dans notre
sous région cherche à assurer la durabilité de la solution politique et son acceptation par tous les
acteurs de la crise et du processus de son règlement à travers une l’approche participative car
aucune solution ne sera possible si elle ne prend pas en compte les aspirations du peuple nigérien
meurtri par la gestion chaotique du régime renversé.
Il est évident que ces propositions de sortie de crise développées par la médiation algérienne sont
faites pour être discutées et la mise en place du forum national inclusif va dans ce sens. Aussi pour
prouver sa capacité à mener cette discussion l’Algérie s’atteler très rapidement à travailler dans le
sens d’alléger les sanctions injustes imposées par la CEDEAO au peuple nigérien persévérant, résiliant
et héroïque. Quant au CNSP, il dispose aujourd’hui de toutes les prérogatives pour mener le Niger sur
la voie de la souveraineté interne de l’Etat pour maintenir l’ordre et la paix afin qu’aucune
organisation terroristes ou rebelles ne puissent saper l’autorité et perturber la quiétude des citoyens.
Quelque soit la durée de la transition, il sera primordial de travailler à la consolidation et au
renforcement des institutions qui seront issues de la prochaine constitution afin de mettre tous les
verrous nécessaires pour qu’à l’avenir aucun groupe de personnes ou de partis politiques ne puissent
hypothéquer l’avenir du pays. Contrairement à l’Algérie, la France et la CEDEAO ont fait une
mauvaise évaluation de la situation. Au fil des semaines et des mois elles réalisent que leur projet
d’intervention pour réinstaller le président déchu et sa mafia rose pour leurs intérêts était une idée
stupide et surtout une tâche ardue aux conséquences incommensurables car les forces armées
nigériennes ne leur faciliteront sûrement pas la tâche, soutenues par celles de la nouvelle alliance du
Sahel à savoir l’armée Burkinabé et malienne.
SIDI LAMINE OUSMANE