A cette idée que les Nigériens peuvent s’auto-prendre en charge, le Colonel Sidi Mohamed y croit fermement. L’énergie de son ambition est nourrie par la clarté de la vision du Chef de l’État nigérien, le Général Abdourahmane Tiani.
L’histoire des progrès accomplis ailleurs le justifie !
L’histoire des grandes révolutions nous révèle une vérité incontournable, véritable préalable et le soubassement certain à l’essor de l’émancipation des peuples. Cette réalité qui s’impose à tout dirigeant civil ou militaire soucieux de se départir de l’emprise de l’extérieur réside dans sa capacité à promouvoir l’agriculture au plan national, jusqu’à en dégager un surplus de réserves à l’exportation.
Ainsi, l’on peut citer pèle mêle, des exemples de pays comme le Japon, le Pakistan ou encore la Chine sous Mao dans les années 1960 qui se sont caractérisés par la mise en place de grands chantiers dans le secteur agricole au point « d’inonder » les marchés de l’extérieur, notamment par l’exportation du riz au moment où des pays du Sud ayant connu relativement le même passé colonial sont restés dans une dépendance maladive au plan alimentaire, vis à vis de l’extérieur. C’est une preuve éloquente de l’échec d’une classe politique dirigeante qui a manqué de vision concernant l’attente des populations si ce n’est une option d’affamer celle-ci pour mieux les tenir en servitude, plus de soixante ans (60) d’indépendance.
Le CNSP ayant tiré les dures leçons du passé agricole du Niger et surtout renforcé dans sa position par l’embargo injuste et inique contre les populations nigériennes en 2023, a placé au fronton de sa vision d’un Niger nouveau, le désir ardent de résoudre cette défaillance politique, telle une malédiction qui plombe l’épanouissement des populations malgré les prétendues politiques agricoles mises en œuvre par les régimes précédents. Le Général Tiani n’a donc pas usé de la langue de bois pour directement pointer du doigt ce que d’aucuns qualifieraient à raison de « mal nigérien », qui depuis belle lurette a impacté négativement le pays depuis Diori Hamani, à cause notamment de ses multiples demandes d’aide alimentaire à l’international.
Le CNSP y a vu juste mais il lui faut des hommes dignes de ce nom !
Grand fut donc le déshonneur qui découlait de « l’éternelle politique de la main tendue », très dégradante pour ce pays qui désormais nourrit un réel espoir depuis le coup d’Etat du 26 Juillet 2023 de voir cette pratique avilissante appartenir au passé, en laissant la place à l’autosuffisance alimentaire, grâce à des actions intelligentes et concertées des hommes qui mobiliseront certainement toutes les compétences déjà existantes en la matière. Pour ce faire, des institutions en charge de la souveraineté alimentaire comme l’ONAHA, la RNI ou encore l’institution à la fois pilier et phare, l’OPVN (Office des Produits Vivriers du Niger) devront jouer un rôle plus important aujourd’hui, grâce au retour à sa « mission originelle », celle qui dépasse la distribution des vivres pour s’engager dans la politique de la production agricole massive à la hauteur de l’ambition de son nouveau directeur général, le Colonel Sidi Mohamed dont les récents propos incarnent encore une ferme détermination à rehausser les standards de son institution « la vision du CNSP, la vision du Chef de l’Etat, c’est de faire en sorte que les céréales soient accessibles à tous, partout dans le pays, de manière juste, équitable et dans la transparence », et à même de secourir les amis d’ailleurs.
Le succès ne doit plus être un fruit du hasard au Niger mais du bout de l’effort !
Il est donc impérieux de vite dépasser la gestion des crises pour s’atteler à la résolution structurelle des problèmes épineux et profonds de la crise alimentaire au Niger, puisque cette priorité est non-négociable pour les dirigeants actuels dont les actions visent à porter les fruits d’un Niger débarrassé de l’image des populations affamées et incapables de mobiliser leurs ressources internes pour garantir un minimum de souveraineté.
Réussir une révolution verte à la nigérienne n’est donc plus à regarder uniquement comme une possibilité ou pas, dans le contexte actuel, mais plutôt comme une obligation de résultat à atteindre pour tous les nigériens, comme l’ont fait les Chinois, les Indiens, les Pakistanais ou les Ukrainiens avec des grands chantiers agricoles, qui ont fait trembler Alain Peyrefitte, un ancien ministre français en visite en Chine dans les années 1970 par le titre de son essai resté célèbre « Quand la Chine s’éveillera le monde tremblera ». Le CNSP fort du soutien inébranlable des populations nigériennes fera « trembler » d’ici peu tous les sceptiques qui désespèrent encore de voir le Niger franchir le pas vers la souveraineté alimentaire, incarnation d’une révolution verte qui boostera par effet d’entraînement tous les autres chantiers de développement, d’autant plus que le préalable au développement sera définitivement réglé par des hommes et des femmes qui produiront en continu.
ABOUBACAR SOUMAILA
Exclusif : « Au sens de la vision du président Tiani que nous assumons pleinement, aucun Nigérien ne doit plus tendre la main pour demander à manger », tranche le Colonel Sidi Mohamed, DG/OPVN
La vision d’un Niger souverain et prospère, au-dessus des défis est déjà là, et n’attend que les hommes valeureux aux compétences éprouvées et avérées, « bien que la vision du Général Abdourahmane Tiani, Chef de l’État soit claire comme l’eau de roche », assume et commente le Colonel Sidi Mohamed donnant une lecture de sa déclinaison sur la souveraineté alimentaire. Mais la concrétisation de cette vision pour le Niger sur le terrain dans ses différentes déclinaisons institutionnelles et sectorielles requiert des hommes de qualités exceptionnelles et de compétences de la pratique.
Le Colonel Sidi Mohamed, un homme de terrain et de la pratique du concret !
La réalisation concrète ou la garantie permanente de la sécurité alimentaire au profit de près de 25 millions de Nigériens, soit le nombre d’habitants du pays du Général Abdourahmane Tiani passe pour être l’une des plus grosses préoccupations des plus hautes autorités nigériennes autour du conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) regroupant l’ensemble des forces de défense et de sécurité pour les prochaines années, et ce, depuis leur prise du pouvoir le 26 Juillet 2023. Mais toute réforme sérieuse, voire audacieuse comme celle visant à donner « à boire et à manger dans la dignité » à tous les citoyens nigériens nécessite forcément des hommes à la hauteur, des hommes dévoués à la cause nationale.
D’autant plus que la pleine conscience des dirigeants militaires de ce gros défi à relever est quasi permanente dans leur esprit, à l’image du Colonel Sidi Mohamed, à la tête de l’institution stratégique de l’office des produits vivriers du Niger (OPVN). Cette haute mission historique repose aujourd’hui sur les épaules de ce Colonel des Sapeurs-pompiers ayant déjà fait ses preuves, partout où il a servi son pays !
Les forces armées Nigériennes au pouvoir ont vite compris cela, en observant déjà l’impact des sanctions économiques, financières et l’embargo total sur les populations dont leurs sources d’approvisionnement en ressources alimentaires dépendaient fortement de l’importation. Ainsi, à quelque chose malheur est bon, puisque cela a permis de tirer des bonnes expériences de gouvernance !
C’est ainsi le Colonel des sapeurs-pompiers, Sidi Mohamed bien connu au Niger pour son intégrité, ses talents et son dévouement au travail en tant que sauveteur des hommes et des leurs biens dans tous les sinistres qui s’y déclarent via incendies, inondations, graves incidents, un homme donc très proche des populations et dont le travail consistait depuis, à les venir au secours, face à toutes les épreuves liées aux événements douloureux. À la tête aujourd’hui de l’office des produits vivriers du Niger (OPVN), une mission hautement stratégique dans la reconquête de la souveraineté nationale de son pays, le Colonel Sidi Mohamed assume pleinement la vision du Chef de l’État qu’il traduit sur la question de la sécurité alimentaire par la volonté de redonner à l’OPVN d’abord sa mission originelle de disponibiliser les stocks alimentaires, de gérer efficacement ceux-ci, de renforcer la production par l’encadrement des paysans, leur accès aux intrants agricoles et la valorisation de leurs productions par l’État via des achats directs auprès d’eux pour éviter le gaspillage et les autres formes de pertes inutiles.
C’est déjà aguerri et imbu d’une solide expérience en matière de gestion de la sécurité des hommes, que ce sauveur [des hommes] enfourche le cheval redoutable de la disponibilité permanente des vivres, en vue de gagner la bataille de la sécurité alimentaire, par la réalisation de l’autosatisfaction des populations en matière des besoins des vivres est pour lui décidément un exercice familier, grâce à la mobilisation des moyens et la gestion efficace de ceux-ci, au profit des citoyens de tout le vaste pays, surtout pour un professionnel de sa trame qui a vite compris le sens de la vision du président Nigérien, le Général Abdourahmane Tiani et partage absolument le souci de la concrétiser dans son secteur à lui confié.
Qui alors mieux qu’un homme déjà habitué à la gestion des secteurs à défis pour l’assumer ? La poigne, l’abnégation, la présence, la pratique, l’inspiration et le sens de l’action doivent habiter tout homme de terrain, comme c’est le cas du Colonel Sidi Mohamed pour réussir à servir le peuple d’une Afrique aujourd’hui en avance sur ses dirigeants dans ses revendications de libération socio-économique, politique et culturelle.
Les leçons tirées des sanctions de la CEDEAO sous les bottes de l’impérialisme !
Bien de leçons de vie ont été tirées aussi bien par les populations pour renforcer leur résilience socio-économique que par les dirigeants militaires déjà inspirés par des réformes structurelles pouvant relancer la production nationale en matière des produits vivriers pour ne plus jamais vivre les effets similaires aux sévères sanctions de la CEDEAO infligées, lors du coup d’Etat militaire du 26 Juillet 2023. À la tête de l’office des produits vivriers du Niger (OPVN), le Colonel Sidi Mohamed annonce des réformes profondes de son institution stratégique pour la concrétisation réelle et effective de la vision du président Abdourahmane Tiani à l’autosuffisance alimentaire de ses compatriotes.
Clin d’œil sur l’échec retentissant d’un complot contre un Niger totalement résilient !
Enappliquantla fermeture des frontières terrestres, une sanction assortie d’un embargo total sans précédent imposé contre le pays du Général Abdourahmane Tiani et ses populations dès le 30 Juillet 2023 par l’organisation dite communautaire régionale Ouest africaine (CEDEAO), le Niger sortira plus fort malgré la volonté manifeste de l’étouffer et de le faire courber l’échine. Un embargo total sans exception des vivres ou des produits sanitaires mais le pays dirigé par des officiers supérieurs des forces de défense et de sécurité va vigoureusement, sinon victorieusement rebondir en prenant appui sur ses propres forces et ses ressources nationales.
Qu’il n’en déplaise aux lobbies du riz !
C’est en plein embargo que des dignes fils de l’Afrique du Togo de l’illustre Gnassingbe Eyadema a ouvert aussi bien son aux Nigériens que son pays, tout comme son port de Lomé pour permettre au pays du Général Abdourahmane Tiani de s’approvisionner à suffisance tous ses besoins en matière des produits vivriers et autres. Le corridor Lomé, Sekansé, Kaya, Dori et Téra va matérialiser la voie de la nouvelle vie pour le Niger.
Comment tenir durablement si les nouvelles autorités militaires nigériennes n’avaient pas un projet de société en main face aux lobbies du riz qui avaient fait brutalement monter les prix de cette denrée alimentaire de première nécessité ? Et bien le pays du Général Tiani a misé sur une solution alternative et temporaire par l’offre du pays frère du Togo afin de s’approvisionner massivement et directement en vivres pour faire face à la crise du moment avant le lancement désormais du développement des bases nationales de production.
Le corridor Lomé-Téra a permis de réaliser ainsi des achats massifs et directs pour reconstituer les stocks alimentaires et assurer la disponibilité (permanente) des produits vivriers, en assumant ainsi la véritable mission originelle et régalienne de l’État, à travers l’office des produits vivriers du Niger (OPVN), explique en substance son directeur général, le Colonel Sidi Mohamed. Ainsi plus de 89.000 tonnes (soit 89.5000t) sont disponibles à distribuer dans toutes les villes du Niger en sept phases par les gouverneurs, les préfets et les administrateurs à travers le vaste pays.
Un accès universel aux vivres malgré le complot des lobbies du riz !
À la situation de crise imposée au Niger par la CEDEAO, les lobbies du riz constitués par les grands producteurs internationaux comme l’Inde, la Chine, le Pakistan ou l’Ukraine sous la complicité des opérateurs économiques mais surtout les acteurs politiques qui ont longtemps choisi de l’option de l’importation au lieu de développer les productions nationales internes. Sous l’impulsion du Colonel Sidi Mohamed, l’OPVN a lancé les dispositions idoines et rapides pour réaliser des distributions aux populations par des ventes à prix modéré via une vingtaine de kiosques localisés dans la ville de Niamey et régulièrement renforcés comme dans toutes les autres villes du pays.
En plus des ventes à prix modérés des vivres aux populations cibles, des distributions gratuites et câblées à la frange la plus diminue des populations nigériennes et notamment celles victimes des inondations et les autres défis sécuritaires ou socio-économiques. Un dispositif de sécurité et protection des opérations de distributions sont mises en place pour faire rendre gorge à tout contrevenant, fraudeur ayant subtilisé un grain de céréales, insiste avec rigueur le Colonel Sidi Mohamed, le premier responsable du succès de ces actions sociales très sensibles.
Une conscience de la gouvernance digne dans l’accès aux vivres !
Sans soucis d’exécution dans de ces opérations ventes à prix modérés ou des distributions gratuites câblées dans les règles de l’art, notamment dans l’équité pour garantir une certaine justice sociale, dans la transparence pour éviter les fraudes, la proximité pour humaniser l’État, la vision du Chef de l’État nigérien ne saurait être traduite efficacement et concrètement au profit des populations. « A partir de cette année 2024, l’expérimentation et l’implémentation de la vision du président Nigérien, le Général Abdourahmane Tiani permettra aussi bien de minimiser les pertes de la production nationale que de préserver pour toujours les Nigériens et leurs biens afin qu’ils ne tendent plus jamais les mains ailleurs pour chercher à manger, grâce aux moyens propres du pays, pour s’auto-prendre en charge », tranche le Colonel Sidi Mohamed.
D’autant plus que « le Niger va continuer à produire pour assumer pleinement entièrement sa principale mission consistant à disponibiliser les vives, à gérer les stocks dans le but de faire face à tous les défis, à tous les éventuels problèmes de façon responsable afin qu’on puisse se nourrir désormais par nous-mêmes au Niger », précise le Colonel Sidi Mohamed, avant d’insister sur la clarté lumineuse de la vision du Chef de l’État, qui offre les moyens de prise en main de tous les services et les institutions accomplir la noble ainsi déclinée. À suivre.
MOUSSA NAGANOU