Noel, est fêtée dans la nuit du 24 au 25 décembre et dans la journée du 25, et le réveillon de la Saint-Sylvestre, dans la nuit du 31 au 1er Janvier de la nouvelle année sont des occasions de joie et de grandes réjouissances. Elles sont aussi synonymes d’accidents avec plusieurs décès au compteur.
Au Niger chaque année, au moment des fêtes, beaucoup d’accidents graves et souvent mortels se produisent. La monté alarmante des cas d’accidents pendant ces mois festifs de Décembre et janvier effraie et suscite diverses interprétations chez les citoyens.
Certains y voient même des affaires mystiques. Selon Ismaël Anza, la plupart des gens qui rencontrent ces genres de problèmes sont des jeunes qui roulent dans des gros véhicules de leurs parents avec un excès de vitesse en plein centre ville et souvent avec un état d’ébriété. Alors comment éviter la catastrophe si le conducteur n’arrive pas à freiner à temps ou s’il a perdu le contrôle de son véhicule ? Même s’il faut parler des faits surnaturels, on doit d’abord être discipliné au volant. L’on doit s’interroger sur notre responsabilité individuelle.
Pour Adena, la seule chose qui provoque ces accidents à la fin d’année, c’est la précipitation, l’imprudence, l’intolérance dans la rue, la conduite en étant ivre ou avec l’esprit quelque part.
La population doit être prudente et le gouvernement est interpelé afin de prévenir tout risque d’accident en mettant les garde-fous dissuasifs nécessaires à infléchir les conducteurs. Restons vigilants sur les routes et conduisons en toute responsabilité pour assumer notre sécurité.
RAMATOU OUMAR LABARAN