Sauf devoir de confraternité, la responsabilité du métier de journaliste commande constamment le reflexe du professionnalisme pour contribuer à maintenir l’équilibre de toute société humaine, en lui épargnant des conflits inutiles. A moins qu’on ne revendique l’insolence, la provocation et l’impertinence comme éléments fondamentaux des repères propres à son art à lui choisi par Africa intelligence pour traduire, exprimer voire séduire le monde avec un visage, symbole de la rumeur affirmée pour signifier son existence.
D’autant que tout média tente de traduire et de donner l’information avec le prisme de son propre regard, le prisme de sa propre personnalité via les règles du métier. Mais ce prisme peut inévitablement être fait soit de rigueur, d’intelligence, du sérieux, d’insuffisance, de complexe, d’impertinence, d’ignorance, d’insolence, de paresse, de faiblesse ou de vigueur intellectuelle exposée et tendue au monde.
Sans glisser dans une étude savante des réalités de la pratique des médias francophones très portés au sensationnel ou à la facilité qu’au sérieux bien exploré par les confrères anglophones, mieux portés sur « le grand-reportage » et donc « l’enquête » dont le terme anglais « investigation » a plutôt ravi la vedette à celui français « d’enquête », le quotidien français en ligne « Africa intelligence » symbolise et incarne pour le moins celle-ci par la récurrence des plaintes, qui pleuvent sur ce média de la mauvaise école du journalisme.
Le très sérieux média américain « The New Yorker » n’a pas trouvé autrement à son corps défendant que de révéler les turpitudes « d’Africa intelligence », qui est « accusé de relayer des rumeurs et de pratiquer la désinformation par les observateurs de la vie politique, diplomatique et économique en Afrique ». Le très célèbre journaliste d’investigation du journal « The New Yorker », David D. Kirkpatrick « démonte les mécanismes par lesquels le quotidien en ligne français relaient sans travail de vérification journalistique des informations désastreuses pour la réputation d’un citoyen américain » par exemple Hazim Nada avec sa société Lord Energy, pour ne pas ne rapporter ce cas.
L’article de David D. Kirkpatrick explique comment Africa intelligence plaque violemment les données reçues des officines « d’intelligence économique » et «sans se préoccuper des conséquences extrêmement graves de leurs écrits voire en reprenant à leur compte », « le storytelling de leurs commanditaires » et cite en l’occurrence « Alp Services » qu’il indique déjà être « sulfureuse » alors même que dans ce domaine chaque officine agit pour sauvegarder ses intérêts économiques. Le journaliste américain David D. Kirkpatrick démontre une pratique permanente des ragots, des calomnies et de la diffamation de nos confrères « d’Africa intelligence ».
Aussi, ce média américain explique comment cet autre média français en question harcèle les dirigeants africains, à travers des choux gras à l’encontre des dirigeants politiques, des diplomates et des acteurs économiques africains, en particulier, comme en témoigne les nombreuses plaines à ce sujet. Même les médias ne sont pas épargnés dans son aveuglement à exercer la violence verbale sur son chemin et assouvir son appétit vorace à répandre la rumeur sensationnelle.
Le groupe de média AFRICA 24 en a pris à son compte gratuitement sur la figure et s’était trouvé en devoir de porter plainte contre Africa intelligence, à son corps défendant, en déclenchant « une plainte multiple en diffamation ». Le groupe AFRICA 24 déplore les éditions du 11 Janvier et 13 Janvier 2023, où deux articles intitulés « l’histoire secrète derrière la chute de la chaine Africa 24».
Le média incriminé, qui regrette tout de même qu’une telle attaque en règle, gravissime pour le moins contre lui advient d’un confrère et ce, à l’orée de son 15è anniversaire. « Nous engageons avec foi, transparence et détermination à suivre toutes les procédures utiles à l’effet d’obtenir réparation de l’ensemble des préjudices nés de ces diffamations successives », déclare le groupe AFRICA 24. Le fondateur d’AFRICA 24, Constant Nemalé indique que cela fait « deux années consécutives que son groupe affiche un bilan positif » et précise que « des accords inédits et historiques pour un média africain ont été signés avec le groupe Canal plus ».
C’est l’un des médias qui fait le prestige du continent africain face aux mastodontes occidentaux que représentent CNN avec son milliard de dollars américain de budget, Al JAZEERA avec 1,2 milliard de dollars américain, TV5 a 320 millions d’Euro, France 24 avec 260 millions d’Euro de budget annuel, BBC ou encore RUSSIA Today conservent plusieurs millions voire milliards de dollars de budget annuel chacun pour maintenir leurs positions enviables et exercer continuellement leurs influences évidentes à travers le monde moderne.
On dirait une hostilité affichée contre toute célébrité et prestige africains, « Africa intelligence » excelle dans les diatribes salées à l’encontre des acteurs politiques ou économiques du continent africain. Coup sur coup, Africa intelligence va se mettre en porte-à-à faux avec des dirigeants africains auxquels il va s’attaquer sans vergogne.
Hassan Bouhemou, l’ancien PDG de la société nationalle d’investissement marocain, Dan Gertler, le milliardaire israélien et sa dernière trouvaille est le célébrissime leader politique nigérien, Issoufou Mahamadou, ancien président de la République, Prix Mo Ibrahim, Président du Panel de Haut Niveau des Nations-Unies pour la sécurité et le développement en Afrique qu’il veut trainer dans l’affaire sulfureuse dite « Uramin » en France et « Uraniumgate » au Niger déjà connue par la Justice française. Toutes ces célébrités ont décidé de porter plainte en diffamation contre nos confrères d’Africa intelligence, habitués à s’attaquer aux hommes et aux institutions de valeurs pour suppléer visiblement à sa carence en la matière.
Dr Amadou Hima Boubacar, un observateur nigérien bien averti de la scène politique tirera une opinion qui traduit efficacement et pertinemment la valeur ajoutée réelle de ce média, qui passe pour être une véritable fripouille des médias hexagonaux. « Visiblement, le journal Africa intelligence est un journal diffamatoire et calomnieux, qui risque gros avec ces multiples plaintes portées contre lui ».
MOUSSA NAGANOU