La dite militante des droits de l’homme, Aissatou Ba Mintou, directrice générale
adjointe de la fédération internationale des droits de l’homme (FIDH) a foulé aux
pieds la souveraineté du Mali pour critiquer vertement la Transition militaire Malienne
installée par le Colonel Assimi Goita depuis le 18 Août 2020 sans pouvoir respecter
le moindre calendrier électoral, pendant quatre ans, tout en ignorant royalement que
les autorités de la Transition ont aussi des droits que les autres aussi doivent
respecter. La fédération internationale des droits de l’homme assène ainsi
gratuitement sa violence verbale sur les autorités militaires Maliennes, au nom de
son propre paradigme pour « restrictions des droits de l’homme, exil des opposants,
absence du dialogue politique, musèlement de la presse, absence d’élections »,
massacres des djihadistes, bref Aissatou Ba Mintou et ses camarades peignent le
Mali d’une apocalypse sans précédent contrairement au regard des Maliens eux-
mêmes.
Le Premier ministre Choguel Kokala Maiga voit un nouveau paradigme !
Le Premier ministre Malien et ses partisans quant à eux sont aux anges le Samedi
17 Août 2024 à Bamako pour célébrer le changement de paradigme amorcé depuis
le 18 Août 2020 mais il aura fallu le coup d’Etat de 2021 pour que le nouveau
paradigme prenne effectivement son envoi pour la libération du Mali. Kidal reconquis
et la dynamique du dialogue avec toutes les forces politiques au Mali est en cours.
Les odeurs du complot polluent les partis politiques et le haut conseil
islamique !
Ce sont les critiques des partis politiques Maliens et leurs associations greffons de la
société civile qui sont reprises et amplifiées par la fédération internationale des droits
de l’homme et ses filiales à travers le monde pour mettre au pilori le régime du
Colonel Assimi Goita dont les acteurs tapis derrière les dites organisations ne veulent
plus voir ou entendre parler des Colonels à la tête du Mali. L’on fait feu de tout bois
dans le monde entier et la flamme dirigée contre les Colonels de Bamako, parce que
ceux-ci entendent se présenter aux élections présidentielles prochaines, selon les
termes des quelques 300 recommandations issues des assises nationales pour en
faire un Mali Ba, le pays du Colonel Assimi Goita.
MOUSSA NAGANOU