Le 6 Janvier 2021, le Capitole est pris
d’assaut par les partisans de Donald Trump, le président sortant des États-Unis
d’Amérique pour contester l’élection de son successeur, le républicain Joe
Biden à la Maison Blanche suite aux élections présidentielles de 2020. Des
émeutes qui s’emparent violemment du bâtiment du Capitole, pour tenter de
bloquer la certification des résultats du scrutin présidentiel de 2020 élisant
Joe Biden, car le congrès s’était réuni là, pour la 117e session
parlementaire en vue d’ordonner cette certification.
C’est ainsi que le président sortant Donald
Trump comptait réussir à ne pas quitter la Maison Blanche, au motif que les
élections présidentielles de 2020 aux États-Unis d’Amérique sont truquées en sa
défaveur. Donald Trump dénoncera des fraudes électorales dans son pays,
l’Amérique.
Il (Donald Trump) affirmait même que la Russie
était pleinement impliquée dans cette fraude qu’il veut massive au sujet de
l’élection du président des États-Unis d’Amérique par le biais du fils de Joe
Biden qui avait ses entrées à Moscou. Cette attaque du Capitole est assimilée à
une tentative de coup d’Etat aux États-Unis d’Amérique.
Des procédures de destitution et pour coup d’Etat aux États-Unis
d’Amérique contre Donald Trump !
L’invasion du Capitole le 6 Janvier 2021 par
les partisans de Donald Trump avait fait 5 morts, dont 3 hommes, 2 femmes,
composés d’un policier, d’un ancien militaire de 35 ans et avait suscité
plusieurs procédures administratives et institutionnelles déclenchées contre
Donald Trump par la haute administration Américaine et des autres institutions
des États-Unis. Le congrès américain avait ouvert plusieurs procédures de
destitution et les parlementaires américains ont voté avec des chiffres records
jamais réalisés dans l’histoire des institutions des États-Unis, même si
celles-ci n’ont pas abouti à sa destitution.
En plus des procédures institutionnelles et
administratives dirigées contre Donald Trump, plusieurs procédures judiciaires
sont également formalisées au pénal contre l’ancien président Donald Trump.
Durant toute la période de quatre ans du mandat du président Joe Biden a été
marquée par de multiples procédures judiciaires avec des rebondissements
spectaculaires jusqu’à la veille de la confirmation de sa candidature, pour
voir certaines charges contre lui abandonnées.
Devenu une bête noire de la Loi et des
institutions Américaines, l’ancien président Américain et candidat à l’élection
présidentielle de Novembre 2024, Donald Trump a fait l’objet de quatre
(4) procédures judiciaires différentes au pénal et
visé par quatre–vingt–huit (88) chefs d’accusations.
C’est dans ces conditions drastiques que le candidat républicain a subi une
apparente tentative d’assassinat, en pleine campagne en
Pennsylvanie, le 13 Juillet 2024 et touché
violemment à l’oreille droite.
La vie politique Américaine en est bien
familière, puisque truffée de ces genres d’événements, quoique spectaculaires,
risqués, dangereux et mortels. Deux (2) morts, deux (2) grièvement
blessés et avec un Donald Trump blessé
à l’oreille droite (sur 2 cm) que tous les leaders
républicains sont désormais mobilisés autour de lui, décidés résolument à
plébisciter le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, le putschiste du 6
Janvier 2021, et ce, dès le 5 novembre prochain,
surtout que Joe Biden à 82 ans présente plusieurs signes de
défaillance physique et psychologique pour tenir encore le temps d’un second
mandat pour une Amérique, en perte de vitesse dans le monde et qui est à la
recherche de ses marques.
MOUSSA NAGANOU
