Révélateurs sur la RTB, en édition spéciale (Burkina Faso). Les attaques visant
BAMAKO, NIAMEY et OUAGADOUGOU commencent à dévoiler vrais visages,
délivrer leurs vrais secrets et donc la véritable cause de sa persistance dans la
région du Sahel, sa propagation en Afrique de l’Ouest, ainsi que le niveau de
complicité du phénomène terroriste dans les trois pays du Sahel dont le Burkina
Faso, le Mali et le Niger qui ont décidé de s’unir pour donner une nouvelle orientation
politique et économique à leurs pays membres de la confédération de l’Alliance des
États du Sahel (C-AES). Le Burkina Faso vient de mettre la main sur le pot aux roses
du phénomène terroriste au Sahel, par une révélation très scandaleuse impliquant
des personnalités de très sérieuse position dans la société et précisément dans la
sécurité, la classe politique, le milieu d’affaires et de la société civile professionnelle
(la presse).
Niamey, une partie d’un même corps du complot dévoilé à Ouaga !
Même si la révélation du nom du journaliste Serge Maturin a surpris plus d’un
journaliste au sein de la corporation des médias Nigériens, le travail des services des
renseignements militaires est salué, tout de même à l’unanimité. D’autant plus, que
l’arrestation du journaliste en question a été confirmée à Niamey, tout comme
l’hébergement de son incombant et dangereux hôte qu’il a volontairement et
librement choisi.
Ainsi, le travail professionnel du Colonel Souleymane Balla Arabé, patron de la
direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) a permis d’éviter à Niamey le
type d’attaque terroriste perpétrée à Bamako, le Vendredi 17 Septembre dernier.
Totalement en dehors du métier de journaliste, son credo, son honneur, l’accueil d’un
terroriste dans la capitale Nigérienne par complicité pour lui garantir les facilités de
sa fuite est une option grave mettant en péri sa propre société, la paix collective, la
quiétude quotidienne, la cohésion sociale et préserver la vie tout simplement.
Le terrorisme à visage découvert au Sahel ?
Selon le ministre Burkinabè de la sécurité, le commissaire divisionnaire, Sana, c’est
en réalité un système de réseaux de haute complicité avec leurs relais dans chaque
pays du Sahel (central) contrôlés depuis l’extérieur pour faire accueillir des dirigeants
terroristes dans les villes ou capitales de la confédération de l’AES pour réaliser ainsi
l’exécution des opérations ou des plans d’attaques au sein des trois pays membres
de la nouvelle confédération établie au Sahel ! Le plan ourdi contre la confédération
de l’AES est monstrueux, lorsqu’on apprend de la révélation du Burkina Faso que
des professionnels de haut vol du domaine de la sécurité, de la politique, du milieu
des affaires ou encore de la presse à qui tous les dignitaires de la société, tout
comme les citoyens lambda peuvent se confier en toute sécurité et sans la moindre
crainte leurs secrets ou leurs préoccupations sont impliqués dans de tels complots
diaboliques.
La complicité de terrorisme, une option du suicide et du déshonneur !
C’est bien dommage, ainsi des hauts gradués de l’armée burkinabè, des dirigeants
politiques trahissent les peuples qui les élisent, des hommes des médias ont donc
tronqué l’honneur de la profession de journaliste pour se retourner contre leur propre
société qu’ils prétendent pourtant éclairer la lanterne, défendre ou amuser lorsque
nécessaire, mais aussi des hommes d’affaires, qui s’enrichissent pour la plupart sur
le dos des populations et retournent la fortune malheureuse, certainement sale
contre leurs propres clients, leurs propres parents, leurs propres amis et
connaissances. Le mal terroriste est donc très profond, si de tels dignitaires de la
société au Burkina Faso, au Mali et au Niger retournent leurs robes pour s’en
prendre à leur propre société Africaine digne, solidaire par complicité avec le mal et
uniquement pour faire plaisir à leur bourreau, qui n’est autre que l’impérialisme, il faut
dire que c’est l’option du suicide et du déshonneur que ceux-ci ont choisi, en d’espoir
les cause. Et cela peut justifier jusqu’à quel point, ils n’étaient pas faits pour exercer
la profession qui leur sert de trompe l’œil dans la société, pour paraître ainsi digne
parmi les autres, au sein de la société.
Terrorisme au Sahel, le mal est dans le fruit !
Ainsi, le terrorisme dort et se réveille, matin, midi et soir avec nous. Le mal est donc
dans le fruit, lorsque des dignitaires consentent à être guidés de l’extérieur, telles des
marionnettes pour causer le mal à sa propre société.
D’ores et déjà, le gouvernement burkinabè a révélé des noms et promet de diffuser
très prochainement des échanges téléphoniques et des messages compromettants
pour leurs auteurs volontairement glissés dans les réseaux sociaux pour
communiquer entre complices pour nuire à la cohésion sociale. Ainsi les noms des
trois journalistes apparaissent dans la liste complot présumé (sous réserve de
décision judiciaire), les noms des hommes politiques ayant exercé des hautes
fonctions, des dirigeants militaires ayant assuré la commande des services
stratégiques dans la hiérarchie militaire, des commandants terroristes et des
hommes d’affaires (non cités).
Avec un tel niveau de complicité, que peuvent faire des « faux-amis » comme la
France, les États-Unis d’Amérique et les autres pays européens ?
Ainsi, l’expulsion des soldats français, américains et les autres européens
autoproclamés « sorciers blancs de la sécurité » n’avaient fait qu’affaiblir les
complices locaux du terrorisme au Sahel et justifiait largement la fausse l’inquiétude
et la résistance exprimée de certaines forces d’occupation, inquiétude et résistance
liées bien évidemment aux promesses des complices de pouvoir changer la donne
nationale, en vain. Donc le départ des armées françaises et américaines n’a jamais
changé la position des complices locaux à multiplier les stratégies et les complots
pour renverser la tendance convergente dans les trois pays et qui s’impose au reste
du monde.
C’était une faute ou la preuve d’une complicité de croire que les « amis »
occidentaux et leurs soldats d’occupation devraient aider le Sahel à se débarrasser
de ses forces du mal. Des forces du mal équipées de matériels dont seuls les
ennemis de la nation leur fournissaient.
MOUSSA NAGANOU (Mouryyaniger.com)