« Si on s’en tient aux résultats sur le terrain, les bilans des différentes attaques sont en notre défaveur sont en défaveur de nos forces de défense et de sécurité. Nous souhaitons par un meilleur équipement, un meilleure rendement pour renverser la tendance actuelle, parce que de toute façon il nous faut prendre le dessus, il faut que nos armées, nos forces de défense et de sécurité prennent le dessus, en tout état de cause.
Les Etats du Sahel doivent avoir les moyens d’instaurer les conditions d’une paix durable, évidemment nos armées qui connaissent des faiblesses, qui ne sont pas peut être adaptées à la nature de la menace actuelle doivent redoubler d’innovations, doivent s’entraîner mieux, doivent s’équiper mieux, avec des moyens de collectes et de renseignement ».
S agissant de la situation au Burkina Faso, moï je contre la création de ses volontaires, l’échelle a laquelle sa se passe ne pas la bonne ,moi je crois qu’un état ne peut pas organiser des populations civiles, leur donner des armes, et comme le président Bazoum le dit, évidemment jeter ces civiles en pâture, toutes les confrontations qui se déroule sur le terrain ,les confrontations entre clan a des intérêts peuvent être exacerbées ,et nous créons nous même les conditions probablement d une guerre civile c’est pas la solution.
Sur la situation au Burkina et Mali non appréciation porte peu ,ce qui est important après tout ce le résultat est a dire peut importe la beauté de l âme si avec les méthodes actuelle les options actuelle, les orientations actuelle, des gouvernants, il y a un résultat efficace en terme de sécurisation des populations en terme de paix ,et de développement durable, on tira tous nos chapeau, ils auront réussi mais a l inverse si malheureusement la situation devrait s empirer force sera de reconnaître que les méthodes, les voies utiliser ne sont les bonne précise le général.
Propos décryptés par SOULEYMANE OUSMANE