Ainsi, c’est le 27 Septembre 2024 prochain que le président béninois Patrice Talon
devrait être renversé par le patron de sa propre sécurité ! , révèle Metonou, le
procureur de la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme
(CRIET) à Cotonou, le mercredi 25 Septembre, soit deux du projet de la chute de
Patrice Talon de la tête du Benin. Patrice Talon accuse ainsi sa propre sécurité
d’avoir attenté à sa déstabilisation et son renversement.
Mais pour cela, il a choisi de « manger son piment avec la bouche de Justice » de
son pays , qui devoile l’affaire au grand public. Donc, le président béninois Patrice
Talon est menacé réellement. C’est maintenant donc que l’armée française ou
américaine doit venir s’installer pour « protéger » le pays!
C’est sur le commandant de la garde républicaine, Dieudonné Tevodjre, l’ancien
ministre des Sports Oswald Homeky et l’homme d’affaires Olivier Boko qui portent le
chapeau. Ainsi, Patrice Talon a déjoué une tentative de le renverser et un milliard et
demi est le montant utilisé pour le mettre fin à son règne et le déloger de force de
son palais de la Marina.
Mais qu’est-ce qui peut justifier la tentative de renversement du « grand
démocratique » béninois qui gouverne correctement son pays, sans faire appel à des
armées d’occupation occidentales ?
Des bases militaires françaises soft, c’est-à-dire réduites en petit nombre des
contingents présents dans tous les unités, toutes les compagnies, soit une dizaine
obéissant ainsi au format discret de ré-articulations de la présence française en
Afrique, comme le veut l’Élysée, et quelque chose qui secoue ou suscite déjà
l’indignation de l’opinion publique nationale béninoise que Patrice Talon insiste,
persiste et signe à nier et faire « démentir » par ses ministres, mais qui reste collé à
sa peau et à la réalité sur le terrains dont tout le nord et l’ouest du Benin. Comment
un « bon président » comme Patrice Talon qui gouverne « très bien » son pays et qui
a osé cracher sur les revenus du pétrole brut nigérien don son voisin le Niger a choisi
de partager avec lui, lui dont sa bonne gouvernance politique a fait exiler ses
opposants ou en prison et fermer sa frontière à double tour au par ingérence pour le
« grand bonheur » de son peuple et de revenir aussitôt par volte-face courir derrière
Niamey pour la réouverture de celle-ci et comment peut-il s’inquiéter encore pour le
renversement de son pouvoir acquis par plébiscite du peuple ?
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